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Consciente des enjeux climatiques et soucieuse de préserver ses ressources financières, la ville de Vigneux-sur-Seine a renforcé depuis le début du mandat son action pour la transition écologique et multiplié les engagements en ce sens.

 

Début juillet 2022 et durant tout l’été, les services ont travaillé à l’élaboration de ce plan :

– en analysant les consommations de l’ensemble des bâtiments municipaux, pour identifier les plus énergivores et les évolutions de coûts sur l’année 2022 ;

– en recherchant tous les coûts liés à la mise en oeuvre du service public pouvant être optimisés, afin de garantir le maintien de notre périmètre d’action ;

– en s’inspirant des recommandations établies par le groupe de travail mis en place par l’association AMORCE (premier réseau français d’information, de partage d’expériences et d’accompagnement des collectivités et acteurs locaux en matière de transition énergétique, de gestion territoriale des déchets et de gestion durable de l’eau), l’Association des Maires de France et Intercommunalités de France et la Banque des Territoires (CDC).

 

Les propositions d’actions et d’interventions ont été présentées, débattues et acceptées sur le principe en Bureau municipal le 10 octobre 2022, puis finalisées par les services en lien avec les élus de secteurs concernés, enfin validées lors du Bureau municipal du 21 novembre 2022.

Ce plan est évolutif : il s’adaptera aux capacités d’investissement de la collectivité, aux évolutions de la conjoncture économique et environnementale, aux recommandations et consignes gouvernementales, ou encore à l’évaluation des mesures sur le terrain, auprès des agents et des utilisateurs.

 

Les actions d’ordre général pour optimiser les consommations d’énergie

Elles portent sur l’ensemble du patrimoine bâti et le cadre de vie et visent à :

  1. Prioriser les actions pour optimiser l’usage de nos locaux en fonction du rapport coût/utilisation.
  2. Prioriser les sites sur lesquels intervenir et établir un calendrier de déploiement : la démarche s’appuiera sur un plan d’investissement visant à améliorer la performance énergétique de nos bâtiments.
  3. Définir les indicateurs permettant de mesurer les économies réalisées : il est à noter que de nombreux outils n’existent pas aujourd’hui (compteurs individualisés, télérelève, télégestion…) pour permettre de valoriser et chiffrer précisément des objectifs d’économie

 

Les actions spécifiques

Elles ciblent certains équipements et activités en s’adaptant à leurs particularités, ou participent à développer tous les aspects d’un gestion vertueuse (développer les outils accompagnant les bonnes pratiques, réduire l’énergie consommée dans l’action des services publics).

Ces lignes directrices développent 13 grands volets d’action dont les interventions sont détaillées sur le tableau en annexe.

Une fois adopté, ce plan sera décliné sous la forme d’une feuille de route évolutive, qui précisera les calendriers et les budgets alloués aux différentes interventions.

Pour consulter le tableau en annexe, cliquez ICI

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Dans un contexte de changement climatique et de crise énergétique, il est crucial d’économiser nos ressources. Enedis, en tant que premier distributeur d’électricité en France, nous accompagne.

 

La coupure électrique fait partie des leviers éventuels pour traverser la crise de l’énergie cet hiver. Localisée et temporaire, elle permettrait de réduire la consommation électrique lors d’un moment de forte intensité, évitant ainsi une perte de contrôle du réseau (un blackout).

Mais il s’agit, pour Enedis et ses partenaires, d’une solution d’ultime recours. D’autres solutions existent avant d’arriver à cette extrémité, comme de faire des économies d’énergie ou de baisser légèrement la tension.

Découvrez les solutions proposées par Enedis ICI

Demander un raccordement au réseau d’éléctricité:

 

Pour avoir l’électricité dans un nouveau logement, il faut adresser une demande de raccordement au gestionnaire du réseau public d’électricité. Le dossier se dépose en ligne, en indiquant précisément l’adresse du bien à raccorder, la puissance électrique souhaitée, et en joignant les documents permettant de prévoir les travaux à réaliser : plan de masse, plan de situation et autorisation d’urbanisme.Pour définir la puissance électrique souhaitée, on pourra demander à un professionnel. Cela dépend des équipements installés dans le logement, et principalement du mode de chauffage. Un radiateur électrique peut avoir une puissance comprise entre 600 et 2500 watts, plus les radiateurs sont puissants, plus il faudra augmenter la puissance du compteur. Pour des logements standards, on choisit habituellement 3 kVA pour les moins de 20 m², 6 kVA jusqu’à 60 m² (90 m² si le chauffage est à gaz), 9 kVA au-delà.

 

Téléchargez l’application Ecowatt

L’application EcoWatt vous permet de savoir à quel moment réduire votre consommation et éviter les coupures. A chaque instant, des signaux clairs vous guident pour adopter les bons gestes, si vous le pouvez, et ainsi assurer le bon approvisionnement de tous en électricité.

Soyez alerté en cas de risque de coupure :

Elle vous permet aussi de recevoir directement sur votre smartphone une notification si un signal orange ou rouge est envoyé 3 jours à l’avance. Une notification peut également être paramétrée pour vous informer au sein d’une journée dès que nous entrons dans une période orange ou rouge.

Plus d’info sur : https://www.monecowatt.fr/

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Le lac Montalbot s’apprête à devenir un espace dédié à la protection de la biodiversité. Ses abords vont être réaménagés avec comme objectif, faire découvrir la richesse de ce site extraordinaire à travers la faune et la flore. Pour ce faire, le 11 mars, la convention « Nature en Ville » a été signée par tous les acteurs concernés par cet Espace Naturel Sensible.

 

Retrouver ICI le diaporama présenté lors de la réunion publique du 11 mars 2022.

 

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Nessim Chikhaoui, son nom ne vous dit peut-être rien, et pourtant, en plus d’être scénariste, ce Vigneusien vient de réaliser son tout premier film. Sorti en salle le 12 janvier 2022, pour ce long-métrage intitulé «Placés», Nessim Chikhoui s’est inspiré de sa propre expérience.

 

Nessim Chikhaoui est un enfant de Vigneux. Après avoir grandi rue Paul Langevin dans le quartier de la Croix-Blanche, à 27 ans le jeune homme décide de quitter le nid familial pour rejoindre Evry-Courcouronnes, la ville où il sera éducateur spécialisé pen­dant presque 10 ans.

Passionné par le cinéma depuis toujours et très attaché au pays d’origine de son papa, Nessim souhaitait raconter l’histoire du Printemps Arabe de la Tunisie. Lors d’une rencontre avec Phi­lippe Mechelen, l’un des scénaristes du célèbre film «Les Tuche», le jeune cinéaste lui confie son souhait. L’auteur des Guignols de l’Info lui conseille alors de « prendre une feuille blanche, un stylo et d’écrire ». Face à sa détermination et à son premier scénario très prometteur, Philippe Mechelen, lui propose alors de re­joindre l’équipe de scénaristes pour les films « Les Tuche » 2, 3 et 4.

Toutefois, c’est à la suite de sa rencontre avec le producteur Matthieu Tarot que tout s’accélère. « Ensemble, on a beaucoup discuté, je lui racontais mes années quand j’étais éducateur et tout est parti de là ». Pour son film «Placés», tout commence avec un coup de bluff, « Matthieu Ta­rot m’a confié vouloir produire un film sur le métier d’éducateur, je lui ai alors répondu d’accord mais seulement si c’est moi qui le réalise» nous témoigne Nessim Chikhaoui. A 39 ans, le moins que l’on puisse dire c’est que le jeune réalisateur a de l’audace, « C’est mon tout premier long-métrage, et j’en suis le réalisateur ».

Tout au long de la réalisation de ce film, le jeune homme aura été épaulé par Matthieu Tarot mais aussi par Hé­lène Fillières pour le scénario. Pour Nessim, bien que ce soit son premier film, tout a été plutôt facile « C’était ma vie que je racontais. Je n’ai eu aucun complexe car j’étais sûr de moi, je sa­vais là où je voulais aller ». Pour les éducateurs comme pour les jeunes que l’on découvre dans le film, le réali­sateur s’inspire de son histoire en fai­sant des « mixtes » entre ses collègues mais aussi entre les jeunes qu’il a pu rencontrer et aider au cours de sa carrière. « J’ai tenu à faire apparaitre l‘un de mes collègues, il joue le rôle de l’épicier » ajoute-il en esquissant un sourire.

Beaucoup de clins d’œil à Vigneux

Pour son premier film, Nessim s’est aussi très largement inspiré de sa vie à Vigneux-sur-Seine. « Par exemple, pour la bande de copains qu’on peut voir à l’écran, c’est comme la mienne quand j’étais plus jeune. Je me suis rappelé de toutes ces heures où on est restés à discuter, à rigoler, dans la rue…. Il y avait une super ambiance quand on vivait à la Croix-Blanche ».

Des repérages ont bel et bien été faits à Vigneux, sa ville d’ori­gine, pour envisager le tournage du film « on recherchait une grande place avec des briques rouges où on pourrait installer une base de vie pour toute la logistique et cela était compliqué à Vigneux. C’est pour cette raison qu’on a choisi de tourner à Evry-Courcouronnes » témoigne le réalisateur vigneusien.

Pour les scènes de la famille, là encore Nessim a puisé dans ses souvenirs « au début je voulais qu’on tourne dans le HLM dans lequel j’ai grandi et où mes parents vivent encore mais techni­quement cela était impossible » nous explique-t-il. Dans le film, si le professeur de judo vous rappelle quelqu’un, c’est normal ! Il s’agit du vigneusien Magloire Bena l’un des meilleurs amis du réalisateur.

En ce qui concerne les photos, du film là aussi, le réalisateur a fait appel à l’un de ses amis d’enfance, le photographe profes­sionnel Gaël Rapon qu’il connait depuis l’école primaire.

Entre Vigneux et Nessim les liens sont encore forts « Quand je reviens ici, il y a toujours une émo­tion particulière. Mes amis je les ai tous connu à Vigneux. » nous confie-t-il très ému.

A présent, Nessim travaille déjà sur un nouveau scénario « Le film parlera des petites mains qui tra­vaillent dans les hôtels de luxe. L’objectif est de montrer aux spectateurs l’envers du décor, le quotidien des femmes de mé­nage de ces hôtels ».
Un talent vigneusien de plus, à suivre.