Démarches administratives
Fermer
Quartier Fleurs/Clos de la Régale/Bergeries : Lundi 8 avril au gymnase Maurice-Baquet avec Madame Samia Lemtaï, 116, rue du potager.
Quartier Lac : Mardi 9 avril au Foyer du Lac avec Monsieur Bachir Chekini, 2-4, rue Maurice-Marion.
Quartier Prairie de l’Oly : Mercredi 10 avril au centre Multi-services avec Monsieur Bachir Chekini, 115, rue Pierre-Brossolette.
Quartier Parc du Château/Gare/Port 1er : Jeudi 11 avril au Point d’Accès au Droit avec Madame Marième Gadio, 65, avenue Henri-Barbusse.
Quartier Concorde/Croix Blanche : Vendredi 12 avril au centre social l’Amandier avec Madame Marième Gadio, 24 bis, avenue de la Concorde.
Pour plus de renseignements contacter le service démocratie participative au 01 69 83 56 21 ou écrire à : democratieparticipative@vigneux91.fr
Le 9 février a marqué une étape significative pour Vigneux-sur-Seine avec la signature du contrat d’aménagement régional, en présence de Jean-Philippe Dugoin-Clément, Vice-président de la Région IDF, et Thomas Chazal, Maire de Vigneux-sur-Seine. Ce contrat, doté d’une subvention d’un million d’euros, vise à financer plusieurs projets majeurs :
Ces initiatives, en transformant significativement le paysage urbain de Vigneux-sur-Seine, renforcent l’infrastructure de la ville, améliorant ainsi la qualité de vie de ses habitants et marquant une avancée dans son développement.
La Flamme sera allumée à Olympie le 16 avril 2024 selon la tradition antique. Après un relais de 12 jours en Grèce et une traversée de la Méditerranée à bord du célèbre trois-mâts, le Belém, elle arrivera à Marseille le 8 mai 2024, annonçant le retour des Jeux en France, 100 ans après ceux de 1924.
Quatre jours avant le début des Jeux Olympiques de Paris, l’Essonne sera traversée par l’emblème le plus iconique du sport. Le Relais de la Flamme Olympique passera par 11 communes du département, dont Vigneux-sur-Seine.
Son parcours partira de l’Île de loisirs du Port aux Cerises, à Draveil, remontera à Vigneux-sur-Seine, sur l’avenue Henri-Barbusse pour emprunter la rue Roger-Salengro. Elle rejoindra ensuite la Prairie de l’Oly avant de finir sa course au rond-point du Tour de France à Montgeron.
Des athlètes et champions Vigneusiens et des représentants de la société civile ont été proposés auprès du Comité d’Organisation des Jeux Olympiques. Au total, ce sont 12 relayeurs qui se transmettront la Flamme sur le tronçon de notre Ville, sur une distance de 2,7km. Chacun parcourra environ 200 mètres, à une vitesse moyenne de 4km/h.
Tous ensemble, nous ferons de cette journée, un moment unique, historique et festif.
Retour sur ce parcours gagnant d’un an et demi et sur la préparation de cet événement hors norme
Obtenir le passage de la Flamme Olympique dans notre ville était un pari fou. Grâce à votre soutien et aux efforts fournis par les élus ainsi que par les services de la ville, nous avons réussi. Gagner ce pari n’était pas acquis, il a fallu enchaîner les démarches et les rencontres sans ne jamais baisser les bras.
Pour Vigneux-sur-Seine, tout a commencé en juin 2022. C’est à ce moment que l’idée d’accueillir la Flamme Olympique a germé dans l’esprit de la Municipalité. Très vite, l’objectif était de candidater et de recueillir un maximum de soutien.
Dès le mois de septembre 2022, les premiers courriers ont été envoyés aux Parlementaires : les Sénateurs, Laure Darcos, Vincent Delahaye et Jean-Raymond Hugonet, à la Ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques Amélie Oudéa-Castéra, à François Durovray, Président du Département de l’Essonne, à Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France, au Président du Comité d’organisation des JO Paris 2024 Tony Estanguet, pour avoir leur soutien.
Le 10 février 2023, Tony Estanguet a répondu à la Commune en précisant que notre candidature était étudiée pour le passage de la flamme.
En parallèle, la Municipalité a également voté une motion de soutien au passage de la Flamme Olympique à Vigneux-sur-Seine lors du Conseil Municipal du 13 décembre 2022.
Enfin, dès le mois de janvier 2023, la Ville a également sollicité tous les Vigneusiens pour obtenir leur soutien en les invitant à s’exprimer sur le site internet de la Ville.
Le Sénégal s’entrainera dans notre dojo
Le 8 juin dernier, la délégation Sénégalaise de judo a officiellement sollicité la Ville pour que le dojo Marc-Alexandre lui serve de centre de préparation aux JO 2024 pour ses athlètes judokas. Ainsi, le 16 novembre, la convention partenariale a été signée entre la Fédération Sénégalaise de Judo représentée par son Président M. Ababacar NGOM (chef de l’arbitrage pour l’Union Africaine de Judo et 6è dan de Judo) et par le Maire. Ce moment chaleureux a permis de consolider ce partenariat, la volonté de la Ville étant de pérenniser cela au-delà des Jeux.
À mi-chemin du mandat que les Vigneusiens ont confié à l’équipe municipale « Vigneux pour tous », Thomas Chazal, Maire de Vigneux-sur-Seine, dresse le bilan des réalisations et des évolutions depuis 2020.
Retouvez ci dessous votre magazine Vlm, spécial bilan de mi-Mandat.
Contacts:
(1) XpFibre est une filiale d’Altice France, spécialisée dans la conception, la construction et l’exploitation de réseaux et d’infrastructures de télécommunications pour les collectivités territoriales.
Nessim Chikhaoui, son nom ne vous dit peut-être rien, et pourtant, en plus d’être scénariste, ce Vigneusien vient de réaliser son tout premier film. Sorti en salle le 12 janvier 2022, pour ce long-métrage intitulé «Placés», Nessim Chikhoui s’est inspiré de sa propre expérience.
Nessim Chikhaoui est un enfant de Vigneux. Après avoir grandi rue Paul Langevin dans le quartier de la Croix-Blanche, à 27 ans le jeune homme décide de quitter le nid familial pour rejoindre Evry-Courcouronnes, la ville où il sera éducateur spécialisé pendant presque 10 ans.
Passionné par le cinéma depuis toujours et très attaché au pays d’origine de son papa, Nessim souhaitait raconter l’histoire du Printemps Arabe de la Tunisie. Lors d’une rencontre avec Philippe Mechelen, l’un des scénaristes du célèbre film «Les Tuche», le jeune cinéaste lui confie son souhait. L’auteur des Guignols de l’Info lui conseille alors de « prendre une feuille blanche, un stylo et d’écrire ». Face à sa détermination et à son premier scénario très prometteur, Philippe Mechelen, lui propose alors de rejoindre l’équipe de scénaristes pour les films « Les Tuche » 2, 3 et 4.
Toutefois, c’est à la suite de sa rencontre avec le producteur Matthieu Tarot que tout s’accélère. « Ensemble, on a beaucoup discuté, je lui racontais mes années quand j’étais éducateur et tout est parti de là ». Pour son film «Placés», tout commence avec un coup de bluff, « Matthieu Tarot m’a confié vouloir produire un film sur le métier d’éducateur, je lui ai alors répondu d’accord mais seulement si c’est moi qui le réalise» nous témoigne Nessim Chikhaoui. A 39 ans, le moins que l’on puisse dire c’est que le jeune réalisateur a de l’audace, « C’est mon tout premier long-métrage, et j’en suis le réalisateur ».
Tout au long de la réalisation de ce film, le jeune homme aura été épaulé par Matthieu Tarot mais aussi par Hélène Fillières pour le scénario. Pour Nessim, bien que ce soit son premier film, tout a été plutôt facile « C’était ma vie que je racontais. Je n’ai eu aucun complexe car j’étais sûr de moi, je savais là où je voulais aller ». Pour les éducateurs comme pour les jeunes que l’on découvre dans le film, le réalisateur s’inspire de son histoire en faisant des « mixtes » entre ses collègues mais aussi entre les jeunes qu’il a pu rencontrer et aider au cours de sa carrière. « J’ai tenu à faire apparaitre l‘un de mes collègues, il joue le rôle de l’épicier » ajoute-il en esquissant un sourire.
Beaucoup de clins d’œil à Vigneux
Pour son premier film, Nessim s’est aussi très largement inspiré de sa vie à Vigneux-sur-Seine. « Par exemple, pour la bande de copains qu’on peut voir à l’écran, c’est comme la mienne quand j’étais plus jeune. Je me suis rappelé de toutes ces heures où on est restés à discuter, à rigoler, dans la rue…. Il y avait une super ambiance quand on vivait à la Croix-Blanche ».
Des repérages ont bel et bien été faits à Vigneux, sa ville d’origine, pour envisager le tournage du film « on recherchait une grande place avec des briques rouges où on pourrait installer une base de vie pour toute la logistique et cela était compliqué à Vigneux. C’est pour cette raison qu’on a choisi de tourner à Evry-Courcouronnes » témoigne le réalisateur vigneusien.
Pour les scènes de la famille, là encore Nessim a puisé dans ses souvenirs « au début je voulais qu’on tourne dans le HLM dans lequel j’ai grandi et où mes parents vivent encore mais techniquement cela était impossible » nous explique-t-il. Dans le film, si le professeur de judo vous rappelle quelqu’un, c’est normal ! Il s’agit du vigneusien Magloire Bena l’un des meilleurs amis du réalisateur.
En ce qui concerne les photos, du film là aussi, le réalisateur a fait appel à l’un de ses amis d’enfance, le photographe professionnel Gaël Rapon qu’il connait depuis l’école primaire.
Entre Vigneux et Nessim les liens sont encore forts « Quand je reviens ici, il y a toujours une émotion particulière. Mes amis je les ai tous connu à Vigneux. » nous confie-t-il très ému.
A présent, Nessim travaille déjà sur un nouveau scénario « Le film parlera des petites mains qui travaillent dans les hôtels de luxe. L’objectif est de montrer aux spectateurs l’envers du décor, le quotidien des femmes de ménage de ces hôtels ».
Un talent vigneusien de plus, à suivre.